Un nouveau tournant
Silke raconte : « Dès mes 18 ans, j’ai travaillé comme étudiante dans la friterie de mes parents ». Cela lui a donné un avant-goût de sa passion pour le métier. Bien qu'elle soit satisfaite de son travail à la maison de repos et qu'elle continue d'apprécier les résidents, elle souhaitait également ouvrir sa propre friterie, tout en conservant des contacts sociaux. « Les conversations restent importantes ici aussi », ajoute-t-elle. Sous le nom de « Pitstop », elle souligne que la friterie propose des plats à emporter.